Par francois-xavier drancey
Une citation de sainte OMS elle-même, la reine
de l'incohérence et de la corruption:
Rapport technique n°198 (1960):
« Le public devrait être pleinement informé des dangers éventuels et des
limites des programmes de vaccination. L’une des raisons de renseigner ainsi le public est qu’autrement il perdrait tôt ou tard confiance en la vaccination. Il faut toutefois agir avec tact. On devrait éviter de trop insister sur les risques de la vaccination, mais néamoins indiquer quels sont les dangers réels de la maladie en cause. Dans bien des cas, on ne se
soucie pas assez d’évaluer de manière rigoureuse l’efficacité des vaccins et l’on accepte inconsidérément des preuves indirectes qui sont souvent
trompeuses. »
Le Lancet de 2007 (commenté dans le revue indépendante
Prescrire) nous apprend des choses décisives sur cette agence scandaleuse totalement noyautée par l'industrie et source d'une grave détérioration sanitaire à l'échelle du monde qui
certes, profite à ses bailleurs de fonds industriels mais ni aux individus ni à la collectivité:
« La plupart des
recommandations émises par l’OMS ne répondent pas aux critères de qualité exigibles aujourd’hui en matière d’élaboration de
recommandations. […] La plupart des directeurs interrogés s’appuyaient sur des avis d’experts avec tout ce que cela implique de manque de transparence dans leur sélection, de faiblesse
dans les justifications des recommandations, et de conflits d’intérêts potentiels, corporatistes ou industriels. »
« Ce constat est de nature à jeter un discrédit durable sur l’OMS et ses publications.
»
http://www.prescrir e.org/editoriaux /EDI28581.
pdf
Et quand certains affirment péremptoirement que, pour la plupart des vaccins les gens ont le choix de se faire
vacciner ou non, la seule réponse censée peut se résumer par une superbe phrase de Jacques Prévert:
"Quand la vérité n'est pas libre, la liberté n'est pas
vraie"